dimanche 18 mars 2007

Réveil

Parfois dans le monde où je me situe, je me sens mal
Comme écorchée par le sentiment d’être seule dans un chaos abyssal
Une terrible sensation, celle de n’être plus personne, m’envahit
Mon corps semble d’un coup empli d’une tristesse infinie
Mais sitôt, une voix mélodieuse se fraye un chemin jusqu’à mes oreilles
Sortie d’un lieu auparavant inconnu, signal d’un réveil sans pareil
Son harmonie atténue ma mélancolie, sa force brise mon écorce, sa douceur réchauffe mon cœur
Alors j’avance, consciente d’être libérée de la peur


Un poème que j'ai écrit il y a quelques années.

2 commentaires:

Ronan a dit…

Tu es un peu comme moi, tu as du mal à trouver ta place, je pense que tu es une personne interressante et qui mérite d'être connue

cya a dit…

Merci. C'est juste qu'il faut en être convaincu soit même ce qui est si dur...